Dictature en marche ... au pas de l’oie

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Abbé Zins
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Dictature en marche ... au pas de l’oie

Message par Abbé Zins »

Heil Macron !

Couvre-feu de 21h à 6h dans les plus grandes villes. (Comme Adolf !) Interdiction de l’école à la maison. (Comme Adolf !) Obligation scolaire dès 3 ans. (Pire qu’Adolf ! : à partir de 6 ans.)

Port obligatoire du masque. (Pire qu’Adolf !) Pas plus de 6 personnes à table. (Pire qu’Adolf !)

1ère “infraction” : 134€ ; “récidive” : 6000€.

Voilà où conduit l’élection d’un gamin se prenant pour “Jupiter”.


Et son Castex, prêt à devenir un casse-têtes :

“puisque nous n'avons pas l'opinion pour nous, il va nous falloir prendre des mesures sanglantes” :

à quand le retour sur les grandes places de la guillotine de leurs “grands ancêtres” en la dictature ?


Libera nos, Domine, a dictatoribus.
chartreux
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Re: Dictature en marche ... au pas de l’oie

Message par chartreux »

En bas de chez moi, sont récemment apparues des affiches faisant connaître le site lemurjaune.fr qui contient des photos de Gilets-Jaunes, journalistes ou autres, mutilés pendant les manifestations.

Du site fr.sputniknews.com :
sputniknews a écrit : L'usage du LBD fait polémique depuis le début des manifestations. De nombreuses voix, dont celle du Haut-commissaire de l'Onu aux droits de l'Homme, ont réclamé son interdiction. Mais le 12 avril, le Conseil d'État a refusé de saisir le Conseil constitutionnel sur la question, comme le réclamaient des associations

Sur le site desarmons.net :

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desarmons.net a écrit : Les interpellations “préventives” sur la base d’un texte un peu flou voté sous Nicolas Sarkozy, ont été l’une des méthodes utilisées pour faire baisser le nombre de manifestants lors des différentes manifestations.
desarmons.net a écrit : Plusieurs policiers interrogés par Reflets plaident l’erreur lorsque les tirs de LBD atteignent les visages (...) Mais cette théorie ne tient pas. En effet, (...) les LBD 40 sont tous équipés d’un viseur électronique (holographique) de la société EOTech, réglé et scellé. Selon le fabriquant, il est très compliqué de rater sa cible avec un tel viseur.

Le 15 octobre 2014, le Bulletin officiel du ministère de l’Intérieur, exposait les conditions d’utilisation du fameux LBD. Le ministère précise (...) Il e doit être utilisé « que pour protéger une valeur supérieure à celle sacrifiée par son usage » ou lors « d’un attroupement mentionné à l’article 431-3 du code pénal, en cas de violences ou voies de fait commises à l’encontre des forces de l’ordre ou si elles ne peuvent défendre autrement le terrain qu’elles occupent ». Par ailleurs, le ministère précise que cette arme ne doit pas être employée pour viser la tête. Enfin, le ministère précise que la personne touchée doit rester « sous surveillance constante » des agents de police, ces derniers devant faire appel aux services de secours. En outre, un décompte précis des tirs doit être réalisé et donner lieu à des rapports circonstanciés. Aucun des blessés interrogés par Reflets ne mentionne la présence auprès d’eux de policiers après les tirs.

desarmons.net a écrit : L’usage des LBD est autorisé par le responsable hiérarchique, qui tient ses directives du préfet, qui les tient lui même du ministère, indique un policier. « C’est la plupart du temps oral et nous savons très bien que celui qui sera poursuivi, c’est le policier auteur des tirs, pas l’Etat », conclue-t-il.
Mais comme la plupart des policiers auteurs des tirs sont en civil, sans signe distinctif permettant de les identifier, les procédures ont peu de chances d’aboutir… Pratique.
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Abbé Zins
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Re: Dictature en marche ... au pas de l’oie

Message par Abbé Zins »

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On lit donc sur l’affiche reproduite ci-dessus :

« Avis à la population - Couvre-feu - A partir de ce soir Lundi 21 août 1944, les autorités allemandes ordonnent le couvre-feu de 20h à 6h du matin.»

Contrairement aux fausses nouvelles colportées, ce sont donc les occupants qui l’ont imposé, et non le gouvernement des occupés.
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Abbé Zins
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Re: Dictature en marche ... au pas de l’oie

Message par Abbé Zins »


Caricature parlante de la criminelle absurdité qu’on cherche à nous imposer depuis des mois.

Les masques blancs... dansent encore, Bazas


« Vivez dans la peur, le gouvernement pense pour vous ! »
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Abbé Zins
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Re: Dictature en marche ... au pas de l’oie

Message par Abbé Zins »



Honneur pour cela à cette dame et à sa famille.



Témoignage : de la dictature comme elle vient

Par Michel Janva le 12 avril 2021 11 commentaires

Témoignage : de la dictature comme elle vient
De Jeanne Capel :

Ce dimanche 11 avril 2021 vers 11h15, alors que la messe touche à sa fin, un individu s’introduit dans l’église de Ch…, aux confins de l’Aisne. Portant une veste beige et des rangers, l’homme photographie l’assemblée, se porte à ma hauteur, prend de nouveaux clichés puis se fond dans l’assistance.

La célébration terminée, j’ajuste mon masque pour franchir le porche. Alors que j’avance vers ma voiture, je suis interpelée par le même individu qui arbore désormais un brassard de gendarmerie ! Dans l’échange qui suit, j’apprends qu’on me reproche de n’avoir pas toujours porté le masque pendant l’office et que je serai sanctionnée. Surtout, je comprends que l’opération de gendarmerie, menée par quatre militaires, me visait personnellement, dans le cadre d’un programme de surveillance et d’intimidation qui dure depuis plus d’un an.

En effet, le 25 mars 2020, aux premiers jours du confinement du printemps de cette année-là (qu’on n’osait pas encore qualifier de « premier confinement »), j’avais avec ma famille déployé une large banderole sur la façade de notre maison, située au centre du village, pour dire « Non à la dictature sanitaire ! ». Cet aimable truisme (car qui peut être favorable à une dictature, fût-elle sanitaire ?) nous avait valu plusieurs visites de gendarmes et quelques appels d’édiles locaux : nous « agacions en haut lieu »…

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Quelque part dans l’Aisne, le 25 mars 2020

Rappelons qu’à l’époque, en France, le port du masque était généralement déconseillé plutôt qu’obligatoire, sa vente étant même interdite au grand public. C’est donc bien le foisonnement, l’instabilité et l’incohérence des obligations et des interdits de toute nature que nous entendions dénoncer alors, et l’intrusion dans nos vies qu’ils supposent, par un gouvernement manifestement décidé à dicter nos conduites dans leurs moindres détails plutôt qu’à préserver les libertés publiques.

Un an plus tard, il faut confirmer le constat et nous venons de redéployer notre banderole.

Car c’est bien pour punir ma dissidence, et non un acte, qu’on s’en est pris à moi ce matin. Pourquoi en effet, commettre avec préméditation ce double viol ? Celui d’un sanctuaire, contre une jurisprudence centenaire et les usages les mieux établis, mais aussi celui de ma conscience, pourtant protégée formellement par la réglementation sur la pratique des rites religieux en période d’urgence sanitaire ? Le message est pour moi parfaitement clair : dès lors que vous êtes identifié comme « récalcitrant », dixit le gendarme qui m’a interpelée, le pouvoir se donne contre vous tous les droits et ne vous en reconnaît plus aucun, même (ni surtout !) les plus sacrés.

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Dans l’Aisne, le 11 avril 2021

Hasard ou prémonition, nous avions revu hier en famille le chef d’œuvre de Jean-Pierre Melville, L’Armée des ombres. Si comparaison n’est pas raison, l’Histoire a ses permanences que la période actuelle fait resurgir en mode mineur. Dans ma dissidence assumée, je n’attends donc rien des forces de l’ordre, qui obéissent aux ordres quels qu’ils soient ; ni de la justice, dont le Conseil d’État a théorisé, dès l’Après-Guerre, son incapacité à garantir les libertés contre un pouvoir autoritaire ; et pas davantage hélas des hommes en général qui, par peur, jalousie parfois, ignorance ou intérêt se font si souvent les supplétifs de toutes les nomenklaturas.


Mais alors que, depuis une heure à peine, la banderole flottait à nouveau sur notre maison et que je terminais ces quelques lignes, on sonna à ma porte. Ce n’était pas (encore) les gendarmes mais une voisine. Tout sourire, elle nous portait un pain qu’elle venait de cuire, pour nous remercier d’entretenir publiquement une lueur de liberté. Nous nous embrassâmes et devisâmes longuement.


Quoi qu’il advienne, l’essentiel sera sauf !

Jeanne CAPEL (un pseudonyme) vit dans l’Aisne.


Elle est professeur de Latin et d’Espagnol. En 2020, elle a démissionné de son poste d’enseignante en région parisienne pour ne pas devoir imposer le port du masque à ses élèves.


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