La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

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Sursum Corda
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Sursum Corda »

Merci de votre réponse.

Alors, premièrement je ne vous ai pas attaqué vous, quand je parlais des druides qui aboient. Vous-même ne semblez pas les porter en grande estime. Je n' ai été aucunement surpris par les révélations d' Alexandre, c' est tout à fait ce que je soupçonnais, par simple déduction logique. Sauf que j' irais jusqu' à la simonie avec la Sainte Hostie Elle-même, voir à des messes noires pour certains. Pour l' argent et le reste.

Deuxièmement, je suis arrivé à la conclusion de non-juridiction tout seul comme un grand, en lisant le Code de 1917. J' étais donc tout content de vous avoir trouvé, je me demandais si quelqu' un, quelque part...depuis un petit moment.

Ensuite, je n' ai pas le droit de tirer des conclusion par le cathéchisme de Trente, il est réservé aux prêtres de paroisses, et seulement certains passages doivent être transmis aux laïcs.

Je comprends que les adultes doivent recevoir le Baptême AVEC le désir de le recevoir, AUT, sans contrainte et en connaissance de cause. Je n' ai pas confiance en la traduction angloise du Dezinger et je ne suis pas latiniste. Mais comme précisé précédement :
''Pope Pius IV’s Bull Benedictus Deus (26 January 1564). The Bull, which confirms the decrees of the Council of Trent, imposes a latae sententiae (automatic) excommunication on anyone who, without the approval of the Holy See, presumes “to publish in any form any commentaries, glosses, annotations, scholia on, or any kind of interpretation whatsoever of the decrees of this council.” The reason for this prohibition, the Bull stated, was to avoid the “perversion and confusion” arising from private commentaries on and interpretations of the Tridentine decrees.''
Dixit Cekada qui me traite de ''very stupid'':
http://www.traditionalmass.org/articles ... catname=10

Cependant j' ai droit à la guidance du Magistère.

Pape Paul III, Concile de Trente, S. 7, ca. 5 sur le Sacrement de Baptême, ex cathedra : « Si quelqu’un dit, que le [sacrement du] baptême est libre, c'est-à-dire n'est pas nécessaire pour le salut [voir Jean 3:5] : qu'il soit anathème »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Exultate Deo ; » 22 nov. 1439 : « La première place de tous les sacrements est tenue par le saint baptême, qui est la porte de la vie spirituelle ; par lui nous devenons membres du Christ et du corps de l'Église. Et comme par le premier homme la mort est entrée en tous (Romains 5:12), si nous ne renaissons pas par l'eau et l'esprit nous ne pouvons, comme dit la Vérité, entrer dans le Royaume des cieux (Jean 3:5). La matière de ce sacrement est l'eau vraie et naturelle. »
Pape Pie IX, Concile Vatican I, Se. 3, ch. 2 sur la Révélation ;1870 : « ... Nous déclarons, en renouvelant ce même décret, que son intention est que, dans les matières de foi et de mœurs qui concernent l'élaboration de la doctrine chrétienne, on doit tenir pour véritable sens de la sainte Écriture celui qu'a tenu et que tient notre Mère la sainte Église, à laquelle il appartient de juger du sens et de l'interprétation véritable des saintes Écritures ; et que, dès lors, il n'est permis à personne d'interpréter cette sainte Écriture contrairement à ce sens ni non plus contrairement au consentement unanime des Pères. »
Pape Paul III, Concile de Trente, S. 5, sur le péché originel, ex cathedra : « Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché, la mort... afin que soit purifié en eux par la régénération ce qu’ils ont contracté par la génération. En effet “nul, s’il renaît de l’eau et de l’Esprit Saint, ne peut entrer dans le Royaume de Dieu.” [Jean 3:5] »
Pape St. Zosime, Concile Carthage XVI, sur le péché originel et sur la grâce: « Car puisque le Seigneur dit : “À moins que quelqu'un soit rené d'eau et d'Esprit Saint, il n'entre pas dans le Royaume des cieux” [Jean 3:5] : quel catholique doutera que sera un compagnon du diable celui qui n'a pas mérité d'être cohéritier du Christ ? Celui en effet qui n'est pas à droite se trouvera sans nul doute placé à gauche. »
Pape St. Zosime, Concile de Carthage, ca. sur le péché et la grâce ; 417 A.D. : « Il a été décidé de même : Quiconque dit que le Seigneur a dit “Dans la maison de mon Père il y a plusieurs demeures” [Jean 14:2] pour qu'on comprenne qu'il y a dans le Royaume des cieux un certain lieu, se trouvant au milieu ou ailleurs, où vivent bienheureux les petits enfants qui ont quitté cette vie sans le baptême sans lequel ils ne peuvent pas entrer dans le Royaume des cieux qui est la vie éternelle, qu'il soit anathème. »
Pape Paul III, Concile de Trente, S. 5, sur le péché originel, ex cathedra : « Si quelqu'un nie que les tout-petits, qui viennent de naître de leur mère, doivent être baptisés, même s'ils viennent de parents baptisés ; ou bien dit qu'ils sont certes baptisés pour la rémission des péchés, mais qu'ils ne portent rien du péché originel venant d'Adam qu'il est nécessaire d'expier par le bain de régénération pour obtenir la vie éternelle, d'où il suit que pour eux la forme du baptême pour la rémission des péchés n'a pas un sens vrai, mais faux : qu'il soit anathème. »
Credo de Nicée Constantinople ; 381 A.D., ex cathedra : « Je confesse un seul baptême pour la rémission des péchés. »
Pape St. Célestin Ier, Concile d'Éphèse ; 431 A.D. : « Quand nous avons lu ces saintes paroles de vous et nous trouvant nous aussi penser de même (car “il n’y a qu’un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême”), nous avons glorifié Dieu le Sauveur universel... »
Pape St. Léon IX, Congratulamur vehementer ; 13 avr. 1053 : « Je crois que la sainte Église catholique et apostolique est l'unique vraie Église, dans laquelle est donné l'unique baptême et la vraie rémission de tous les péchés. »
Pape Boniface VIII, Unam sanctam ; 18 nov. 1302, ex cathedra : « Une seule est ma colombe, ma parfaite... l'unique corps mystique : corps dont le Christ est la tête, Dieu cependant étant celle du Christ. En elle il y a “un seul Seigneur, une seule foi, et un seul baptême” [Éph. 4:5]. »
Pape Clément V, Concile de Vienne, Décret n° 30 ; 1311-1312, ex cathedra : « À la vérité, parce qu’il n’y a qu’une seule Église universelle des réguliers et des prélats séculiers et de ceux qui dépendent d’eux, exempts et non exempts, en dehors de laquelle personne n’est sauvée, et que pour tous il n’y a qu’un seul Seigneur, une seule foi et un seul baptême...»
Pape Pie VI, Inscrutabile ; 25 déc. 1775 : « ... Nous vous exhortons et avisons d’être tous d’un seul esprit et en harmonie puisque vous vous efforcez au même objectif, tout comme l’Église a une seule Foi, un seul Baptême et un seul Esprit. »
Pape Léon XII ; 5 mai 1824 : « Il nous est enseigné et par foi divine nous tenons un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, et que nul autre nom n’a été donné sous le ciel aux hommes, par lequel nous devions être sauvés, que celui de Jésus. C'est pourquoi nous professons qu'il n'y a pas de salut en dehors de l'Église. »
Pape Pie VIII ; 24 mai 1829 : « Contre ces sophistes expérimentés, l’on doit enseigner au peuple que la profession de la foi catholique est uniquement vraie, tel que le proclame l’apôtre : un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême. »
Pape Grégoire XVI, Mirari vos ; 15 août 1832 : « L'Apôtre nous en avertit : “Il n'y a qu'un Dieu, qu'une foi, qu'un baptême” (Éph. 4:5) ; qu'ils tremblent donc ceux qui s'imaginent que toute religion conduit par une voie facile au port de la félicité. »
Pape Léon XIII, Graves de communi ; 18 jan. 1901 : « ... la doctrine et l'exhortation de l'Apôtre : “Soyez un seul corps et un seul esprit, comme vous avez été appelés à une seule espérance dans votre vocation. Il y a un seul Seigneur, une seule foi et un seul baptême”... »
Pape Clément V, Concile de Vienne ; 1311-1312, ex cathedra : « Pour cette raison, tous doivent fidèlement confesser qu'un unique baptême régénère tous ceux qui sont baptisés dans le Christ comme il n'y a “qu'un seul Dieu et une seule foi” [Éph. 4:5], et que, célébré dans l'eau au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, Nous croyons qu'il est un remède parfait pour le salut aussi bien pour les adultes que pour les enfants. »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, S. 11 ; 4 fév. 1441, ex cathedra : « Au sujet des enfants, en raison du péril de mort qui peut souvent se rencontrer, comme il n'est pas possible de leur porter secours par un autre remède que par le sacrement du baptême, par lequel ils sont arrachés à la domination du diable [péché originel] et sont adoptés comme enfants de Dieu, elle avertit qu'il ne faut pas différer le baptême pendant quarante ou quatre-vingts jours ou une autre durée, comme font certains... »
Pape Grégoire IX, Cum sicut ex ; 8 juil. 1241, à Sigurd de Trondheim (Norvège): « Étant donné que, comme nous l'avons appris de ton rapport, il arrive parfois que par manque d'eau des enfants de ton pays soient baptisés avec de la cervoise, nous te répondons par la présente que puisque selon l'enseignement de l'Évangile on doit renaître d'eau et d'Esprit Saint [Jean 3:5], ceux qui ont été baptisés avec de la cervoise doivent être considérés comme n'ayant pas été baptisés de façon régulière. »
Pape Innocent III, Concile Latran IV, Const. 1 ; 1215, ex cathedra : « Le sacrement du baptême qui s'effectue dans l'eau en invoquant la Trinité indivise, c'est-à-dire le Père, le Fils et le Saint-Esprit légitimement conféré par qui que ce soit selon la forme de l'Église aussi bien aux enfants qu'aux adultes, sert au salut. »
Pape Benoît XIV, Nuper ad nos ; 16 mars 1743, profession de foi : « De même, [je professe] que le baptême est nécessaire au salut, et que donc, s'il y a péril de mort, il doit être conféré sans délai, et que quel que soit celui qui l’a conféré et quel qu’ait été le moment, il est valide s’il l’a été avec la matière, la forme et l’intention requises. »
Pape Pie XI, Quas primas ; 11 déc. 1925 : « Dans ce royaume, tel que nous le dépeignent les Évangiles, les hommes se préparent à entrer en faisant pénitence. Personne ne peut y entrer sans la foi et sans le baptême ; mais le baptême, tout en étant un rite extérieur, figure et réalise une régénération intime. »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Exultate Deo ; » 22 nov. 1439, ex cathedra : « La première place de tous les sacrements est tenue par le saint baptême, qui est la porte de la vie spirituelle ; par lui nous devenons membres du Christ et du corps de l'Église. Et comme par le premier homme la mort est entrée en tous (Romains 5:12 ), si nous ne renaissons pas par l'eau et l'esprit nous ne pouvons, comme dit la Vérité, entrer dans le Royaume des cieux (Jean 3:5). La matière de ce sacrement est l'eau vraie et naturelle… »
Pape Pie XII, Mystici Corporis ; 29 juin 1943 : « Mais seuls font réellement partie des membres de l'Église ceux qui ont reçu le baptême de régénération et professent la vraie foi. »
Pape Pie XII, Mystici Corporis ; 29 juin 1943: « … Il [le Christ] indiquait aussi le Baptême (Jean 3:5) comme moyen pour les futurs croyants d’être insérés dans le Corps de l’Église. »
Pape Pie XII, Mediator Dei ; 20 nov. 1947: « En effet, de même que le bain baptismal distingue tous les chrétiens et les sépare de ceux que l'eau sainte n'a point purifiés et qui ne sont point membres du Christ, de même le sacrement de l'ordre range les prêtres à part des autres fidèles du Christ qui n'ont point reçu ce don. »
Pape Jules III, Concile de Trente, S. 14, ch. 2, sur les sacrements du Baptême et de Pénitence, ex cathedra : « D'ailleurs on discerne que, par bien des aspects, ce sacrement diffère du baptême. En effet, outre le fait que la matière et la forme, qui constituent l'essence du sacrement, sont très différentes, il est absolument évident qu'il ne faut pas que le ministre du baptême soit un juge, puisque l'Église n'exerce de jugement sur personne qui ne soit d'abord entré dans l'Église par la porte du baptême. “Qu'ai-je à faire en effet (dit l'Apôtre) de juger ceux du dehors ?” (1 Cor. 5:12.) Il en va autrement de ceux qui sont de la famille de la foi que le Seigneur Christ a faits une fois pour toutes membres de son corps par le bain du baptême (1 Cor. 12:13). »
Pape Grégoire XVI, Mirari vos ; 15 août 1832 : « L'Apôtre nous en avertit : “Il n'y a qu'un Dieu, qu’une foi, qu’un baptême” (Éph. 4 : 5) ; qu'ils tremblent donc ceux qui s'imaginent que toute religion conduit par une voie facile au port de la félicité ; qu'ils réfléchissent sérieusement sur le témoignage du Sauveur Lui-même : “qu'ils sont contre le Christ dès lors qu'ils ne sont pas avec le Christ” (Luc 11 : 23) ; qu'ils dissipent misérablement par là même qu'ils n'amassent point avec lui, et que par conséquent, “ils périront éternellement, sans aucun doute, s'ils ne gardent pas la Foi Catholique et s'ils ne la conservent entière et sans altération” [Credo Athanasien]. »
Pape Innocent III, Concile Latran IV, Const. 1 ; 1215, ex cathedra : « Il y a une seule Église universelle des fidèles, en dehors de laquelle absolument personne n’est sauvé, et dans laquelle le Christ est lui-même à la fois le prêtre et le sacrifice... »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Cantate Domino ; » 1441, ex cathedra : « La sainte Église romaine croit fermement, professe et prêche qu'aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l'Église catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges à moins qu'avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ; elle professe aussi que l'unité du corps de l'Église a un tel pouvoir que les sacrements de l'Église n'ont d'utilité en vue du salut que pour ceux qui demeurent en elle, pour eux seuls jeûnes, aumônes et tous les autres devoirs de la piété et exercices de la milice chrétienne enfantent les récompenses éternelles, et que personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s'il verse son sang pour le nom du Christ, s'il n'est pas demeuré dans le sein et dans l'unité de l'Église catholique.»
Pape Léon X, Concile Latran V, S. 11 ; 19 déc. 1516, ex cathedra : « Il n’existe en effet qu’une seule Église universelle incluant réguliers et séculiers, prélats et sujets, exempts et non exempts, hors de laquelle personne n’est sauvé, et pour tous il n’existe qu’un seul Seigneur et une seule foi. »
Pape Pie IV, Concile de Trente, « Iniunctum nobis ; » 13 nov. 1565, ex cathedra : « Cette vraie foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement... »
Pape Benoît XIV, Nuper Ad nos ; 16 mars 1743, Profession de Foi : « ... je crois d’une foi ferme et je professe tous et chacun des articles qui sont contenus dans le symbole de foi qu’utilise la sainte Église romaine, à savoir :... Cette vraie foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement... »
Pape Pie IX, Concile Vatican I, S. 2 ; 1870, Profession de Foi, ex cathedra : « Cette vraie foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement... »


Pape Eugène IV, Concile de Florence, S. 8 ; 22 nov. 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, car si quelqu’un ne la garde pas entière et inviolée, sans nul doute il périra pour l’éternité. »

Sinon, pour en revenir au tout début, je ne faisais que soulever la facilité de l' insulte ''feeneyiste!''. Et je parlais de Cushing, vite récompensé par l' ignoble Roncali, de son acharnement contre ce pauvre Père Feeney...

Voilà je n' ai personne à qui parler de tout celà hormis mon épouse, avec qui je traverse les épreuves finales à grand peine, totalement isolés, perpétuellement en danger de mort, physique ou sprirituelle, tellement les hommes, même les plus ordinaires ont surpassé les anges déchus à présent. Tellement les portails biologiques sont passés hors-contrôle.

D' ailleurs je précise ici que nous regrettons amèrement: mariage et confirmations illicites, confessions illicites et, comble de l' horreur, communions illicites.
Le mariage clandestin que nous avions contracté aurait été suffisant, mais nous n' avions pas de témoins physiques ce jour là, qui plus est nous étions dépourvus d' entourage capable de comprendre. Pour le reste, nous étions de bonne foi et voulions seulement régulariser la situation, ce qui n' intéressait personne, c' est comme ça qu' on a fait notre petit tour de France, propulsés à coup de gifles. Alleluïa.

Désolé de vous avoir fait perdre du temps,

bien à vous.

AMDG
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Abbé Zins
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Abbé Zins »

Sursum Corda a écrit : ven. 17 sept. 2021 23:28 Merci de votre réponse.

Alors, premièrement je ne vous ai pas attaqué vous, quand je parlais des druides qui aboient. Vous-même ne semblez pas les porter en grande estime. Je n' ai été aucunement surpris par les révélations d' Alexandre, c' est tout à fait ce que je soupçonnais, par simple déduction logique. Sauf que j' irais jusqu' à la simonie avec la Sainte Hostie Elle-même, voir à des messes noires pour certains. Pour l' argent et le reste.

Deuxièmement, je suis arrivé à la conclusion de non-juridiction tout seul comme un grand, en lisant le Code de 1917. J' étais donc tout content de vous avoir trouvé, je me demandais si quelqu' un, quelque part...depuis un petit moment.

Ensuite, je n' ai pas le droit de tirer des conclusion par le cathéchisme de Trente, il est réservé aux prêtres de paroisses, et seulement certains passages doivent être transmis aux laïcs.

Je comprends que les adultes doivent recevoir le Baptême AVEC le désir de le recevoir, AUT, sans contrainte et en connaissance de cause. Je n' ai pas confiance en la traduction angloise du Dezinger et je ne suis pas latiniste. Mais comme précisé précédement :
''Pope Pius IV’s Bull Benedictus Deus (26 January 1564). The Bull, which confirms the decrees of the Council of Trent, imposes a latae sententiae (automatic) excommunication on anyone who, without the approval of the Holy See, presumes “to publish in any form any commentaries, glosses, annotations, scholia on, or any kind of interpretation whatsoever of the decrees of this council.” The reason for this prohibition, the Bull stated, was to avoid the “perversion and confusion” arising from private commentaries on and interpretations of the Tridentine decrees.''
Dixit Cekada qui me traite de ''very stupid'':
http://www.traditionalmass.org/articles ... catname=10

Cependant j' ai droit à la guidance du Magistère.

Pape Paul III, Concile de Trente, S. 7, ca. 5 sur le Sacrement de Baptême, ex cathedra : « Si quelqu’un dit, que le [sacrement du] baptême est libre, c'est-à-dire n'est pas nécessaire pour le salut [voir Jean 3:5] : qu'il soit anathème »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Exultate Deo ; » 22 nov. 1439 : « La première place de tous les sacrements est tenue par le saint baptême, qui est la porte de la vie spirituelle ; par lui nous devenons membres du Christ et du corps de l'Église. Et comme par le premier homme la mort est entrée en tous (Romains 5:12), si nous ne renaissons pas par l'eau et l'esprit nous ne pouvons, comme dit la Vérité, entrer dans le Royaume des cieux (Jean 3:5). La matière de ce sacrement est l'eau vraie et naturelle. »
Pape Pie IX, Concile Vatican I, Se. 3, ch. 2 sur la Révélation ;1870 : « ... Nous déclarons, en renouvelant ce même décret, que son intention est que, dans les matières de foi et de mœurs qui concernent l'élaboration de la doctrine chrétienne, on doit tenir pour véritable sens de la sainte Écriture celui qu'a tenu et que tient notre Mère la sainte Église, à laquelle il appartient de juger du sens et de l'interprétation véritable des saintes Écritures ; et que, dès lors, il n'est permis à personne d'interpréter cette sainte Écriture contrairement à ce sens ni non plus contrairement au consentement unanime des Pères. »
Pape Paul III, Concile de Trente, S. 5, sur le péché originel, ex cathedra : « Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché, la mort... afin que soit purifié en eux par la régénération ce qu’ils ont contracté par la génération. En effet “nul, s’il renaît de l’eau et de l’Esprit Saint, ne peut entrer dans le Royaume de Dieu.” [Jean 3:5] »
Pape St. Zosime, Concile Carthage XVI, sur le péché originel et sur la grâce: « Car puisque le Seigneur dit : “À moins que quelqu'un soit rené d'eau et d'Esprit Saint, il n'entre pas dans le Royaume des cieux” [Jean 3:5] : quel catholique doutera que sera un compagnon du diable celui qui n'a pas mérité d'être cohéritier du Christ ? Celui en effet qui n'est pas à droite se trouvera sans nul doute placé à gauche. »
Pape St. Zosime, Concile de Carthage, ca. sur le péché et la grâce ; 417 A.D. : « Il a été décidé de même : Quiconque dit que le Seigneur a dit “Dans la maison de mon Père il y a plusieurs demeures” [Jean 14:2] pour qu'on comprenne qu'il y a dans le Royaume des cieux un certain lieu, se trouvant au milieu ou ailleurs, où vivent bienheureux les petits enfants qui ont quitté cette vie sans le baptême sans lequel ils ne peuvent pas entrer dans le Royaume des cieux qui est la vie éternelle, qu'il soit anathème. »
Pape Paul III, Concile de Trente, S. 5, sur le péché originel, ex cathedra : « Si quelqu'un nie que les tout-petits, qui viennent de naître de leur mère, doivent être baptisés, même s'ils viennent de parents baptisés ; ou bien dit qu'ils sont certes baptisés pour la rémission des péchés, mais qu'ils ne portent rien du péché originel venant d'Adam qu'il est nécessaire d'expier par le bain de régénération pour obtenir la vie éternelle, d'où il suit que pour eux la forme du baptême pour la rémission des péchés n'a pas un sens vrai, mais faux : qu'il soit anathème. »
Credo de Nicée Constantinople ; 381 A.D., ex cathedra : « Je confesse un seul baptême pour la rémission des péchés. »
Pape St. Célestin Ier, Concile d'Éphèse ; 431 A.D. : « Quand nous avons lu ces saintes paroles de vous et nous trouvant nous aussi penser de même (car “il n’y a qu’un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême”), nous avons glorifié Dieu le Sauveur universel... »
Pape St. Léon IX, Congratulamur vehementer ; 13 avr. 1053 : « Je crois que la sainte Église catholique et apostolique est l'unique vraie Église, dans laquelle est donné l'unique baptême et la vraie rémission de tous les péchés. »
Pape Boniface VIII, Unam sanctam ; 18 nov. 1302, ex cathedra : « Une seule est ma colombe, ma parfaite... l'unique corps mystique : corps dont le Christ est la tête, Dieu cependant étant celle du Christ. En elle il y a “un seul Seigneur, une seule foi, et un seul baptême” [Éph. 4:5]. »
Pape Clément V, Concile de Vienne, Décret n° 30 ; 1311-1312, ex cathedra : « À la vérité, parce qu’il n’y a qu’une seule Église universelle des réguliers et des prélats séculiers et de ceux qui dépendent d’eux, exempts et non exempts, en dehors de laquelle personne n’est sauvée, et que pour tous il n’y a qu’un seul Seigneur, une seule foi et un seul baptême...»
Pape Pie VI, Inscrutabile ; 25 déc. 1775 : « ... Nous vous exhortons et avisons d’être tous d’un seul esprit et en harmonie puisque vous vous efforcez au même objectif, tout comme l’Église a une seule Foi, un seul Baptême et un seul Esprit. »
Pape Léon XII ; 5 mai 1824 : « Il nous est enseigné et par foi divine nous tenons un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, et que nul autre nom n’a été donné sous le ciel aux hommes, par lequel nous devions être sauvés, que celui de Jésus. C'est pourquoi nous professons qu'il n'y a pas de salut en dehors de l'Église. »
Pape Pie VIII ; 24 mai 1829 : « Contre ces sophistes expérimentés, l’on doit enseigner au peuple que la profession de la foi catholique est uniquement vraie, tel que le proclame l’apôtre : un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême. »
Pape Grégoire XVI, Mirari vos ; 15 août 1832 : « L'Apôtre nous en avertit : “Il n'y a qu'un Dieu, qu'une foi, qu'un baptême” (Éph. 4:5) ; qu'ils tremblent donc ceux qui s'imaginent que toute religion conduit par une voie facile au port de la félicité. »
Pape Léon XIII, Graves de communi ; 18 jan. 1901 : « ... la doctrine et l'exhortation de l'Apôtre : “Soyez un seul corps et un seul esprit, comme vous avez été appelés à une seule espérance dans votre vocation. Il y a un seul Seigneur, une seule foi et un seul baptême”... »
Pape Clément V, Concile de Vienne ; 1311-1312, ex cathedra : « Pour cette raison, tous doivent fidèlement confesser qu'un unique baptême régénère tous ceux qui sont baptisés dans le Christ comme il n'y a “qu'un seul Dieu et une seule foi” [Éph. 4:5], et que, célébré dans l'eau au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, Nous croyons qu'il est un remède parfait pour le salut aussi bien pour les adultes que pour les enfants. »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, S. 11 ; 4 fév. 1441, ex cathedra : « Au sujet des enfants, en raison du péril de mort qui peut souvent se rencontrer, comme il n'est pas possible de leur porter secours par un autre remède que par le sacrement du baptême, par lequel ils sont arrachés à la domination du diable [péché originel] et sont adoptés comme enfants de Dieu, elle avertit qu'il ne faut pas différer le baptême pendant quarante ou quatre-vingts jours ou une autre durée, comme font certains... »
Pape Grégoire IX, Cum sicut ex ; 8 juil. 1241, à Sigurd de Trondheim (Norvège): « Étant donné que, comme nous l'avons appris de ton rapport, il arrive parfois que par manque d'eau des enfants de ton pays soient baptisés avec de la cervoise, nous te répondons par la présente que puisque selon l'enseignement de l'Évangile on doit renaître d'eau et d'Esprit Saint [Jean 3:5], ceux qui ont été baptisés avec de la cervoise doivent être considérés comme n'ayant pas été baptisés de façon régulière. »
Pape Innocent III, Concile Latran IV, Const. 1 ; 1215, ex cathedra : « Le sacrement du baptême qui s'effectue dans l'eau en invoquant la Trinité indivise, c'est-à-dire le Père, le Fils et le Saint-Esprit légitimement conféré par qui que ce soit selon la forme de l'Église aussi bien aux enfants qu'aux adultes, sert au salut. »
Pape Benoît XIV, Nuper ad nos ; 16 mars 1743, profession de foi : « De même, [je professe] que le baptême est nécessaire au salut, et que donc, s'il y a péril de mort, il doit être conféré sans délai, et que quel que soit celui qui l’a conféré et quel qu’ait été le moment, il est valide s’il l’a été avec la matière, la forme et l’intention requises. »
Pape Pie XI, Quas primas ; 11 déc. 1925 : « Dans ce royaume, tel que nous le dépeignent les Évangiles, les hommes se préparent à entrer en faisant pénitence. Personne ne peut y entrer sans la foi et sans le baptême ; mais le baptême, tout en étant un rite extérieur, figure et réalise une régénération intime. »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Exultate Deo ; » 22 nov. 1439, ex cathedra : « La première place de tous les sacrements est tenue par le saint baptême, qui est la porte de la vie spirituelle ; par lui nous devenons membres du Christ et du corps de l'Église. Et comme par le premier homme la mort est entrée en tous (Romains 5:12 ), si nous ne renaissons pas par l'eau et l'esprit nous ne pouvons, comme dit la Vérité, entrer dans le Royaume des cieux (Jean 3:5). La matière de ce sacrement est l'eau vraie et naturelle… »
Pape Pie XII, Mystici Corporis ; 29 juin 1943 : « Mais seuls font réellement partie des membres de l'Église ceux qui ont reçu le baptême de régénération et professent la vraie foi. »
Pape Pie XII, Mystici Corporis ; 29 juin 1943: « … Il [le Christ] indiquait aussi le Baptême (Jean 3:5) comme moyen pour les futurs croyants d’être insérés dans le Corps de l’Église. »
Pape Pie XII, Mediator Dei ; 20 nov. 1947: « En effet, de même que le bain baptismal distingue tous les chrétiens et les sépare de ceux que l'eau sainte n'a point purifiés et qui ne sont point membres du Christ, de même le sacrement de l'ordre range les prêtres à part des autres fidèles du Christ qui n'ont point reçu ce don. »
Pape Jules III, Concile de Trente, S. 14, ch. 2, sur les sacrements du Baptême et de Pénitence, ex cathedra : « D'ailleurs on discerne que, par bien des aspects, ce sacrement diffère du baptême. En effet, outre le fait que la matière et la forme, qui constituent l'essence du sacrement, sont très différentes, il est absolument évident qu'il ne faut pas que le ministre du baptême soit un juge, puisque l'Église n'exerce de jugement sur personne qui ne soit d'abord entré dans l'Église par la porte du baptême. “Qu'ai-je à faire en effet (dit l'Apôtre) de juger ceux du dehors ?” (1 Cor. 5:12.) Il en va autrement de ceux qui sont de la famille de la foi que le Seigneur Christ a faits une fois pour toutes membres de son corps par le bain du baptême (1 Cor. 12:13). »
Pape Grégoire XVI, Mirari vos ; 15 août 1832 : « L'Apôtre nous en avertit : “Il n'y a qu'un Dieu, qu’une foi, qu’un baptême” (Éph. 4 : 5) ; qu'ils tremblent donc ceux qui s'imaginent que toute religion conduit par une voie facile au port de la félicité ; qu'ils réfléchissent sérieusement sur le témoignage du Sauveur Lui-même : “qu'ils sont contre le Christ dès lors qu'ils ne sont pas avec le Christ” (Luc 11 : 23) ; qu'ils dissipent misérablement par là même qu'ils n'amassent point avec lui, et que par conséquent, “ils périront éternellement, sans aucun doute, s'ils ne gardent pas la Foi Catholique et s'ils ne la conservent entière et sans altération” [Credo Athanasien]. »
Pape Innocent III, Concile Latran IV, Const. 1 ; 1215, ex cathedra : « Il y a une seule Église universelle des fidèles, en dehors de laquelle absolument personne n’est sauvé, et dans laquelle le Christ est lui-même à la fois le prêtre et le sacrifice... »
Pape Eugène IV, Concile de Florence, « Cantate Domino ; » 1441, ex cathedra : « La sainte Église romaine croit fermement, professe et prêche qu'aucun de ceux qui se trouvent en dehors de l'Église catholique, non seulement païens mais encore juifs ou hérétiques et schismatiques ne peuvent devenir participants à la vie éternelle, mais iront dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et ses anges à moins qu'avant la fin de leur vie ils ne lui aient été agrégés ; elle professe aussi que l'unité du corps de l'Église a un tel pouvoir que les sacrements de l'Église n'ont d'utilité en vue du salut que pour ceux qui demeurent en elle, pour eux seuls jeûnes, aumônes et tous les autres devoirs de la piété et exercices de la milice chrétienne enfantent les récompenses éternelles, et que personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s'il verse son sang pour le nom du Christ, s'il n'est pas demeuré dans le sein et dans l'unité de l'Église catholique.»
Pape Léon X, Concile Latran V, S. 11 ; 19 déc. 1516, ex cathedra : « Il n’existe en effet qu’une seule Église universelle incluant réguliers et séculiers, prélats et sujets, exempts et non exempts, hors de laquelle personne n’est sauvé, et pour tous il n’existe qu’un seul Seigneur et une seule foi. »
Pape Pie IV, Concile de Trente, « Iniunctum nobis ; » 13 nov. 1565, ex cathedra : « Cette vraie foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement... »
Pape Benoît XIV, Nuper Ad nos ; 16 mars 1743, Profession de Foi : « ... je crois d’une foi ferme et je professe tous et chacun des articles qui sont contenus dans le symbole de foi qu’utilise la sainte Église romaine, à savoir :... Cette vraie foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement... »
Pape Pie IX, Concile Vatican I, S. 2 ; 1870, Profession de Foi, ex cathedra : « Cette vraie foi catholique, hors de laquelle personne ne peut être sauvé, que je professe présentement de plein gré et que je tiens sincèrement... »


Pape Eugène IV, Concile de Florence, S. 8 ; 22 nov. 1439, ex cathedra : « Quiconque veut être sauvé doit avant tout tenir la foi catholique, car si quelqu’un ne la garde pas entière et inviolée, sans nul doute il périra pour l’éternité. »

Sinon, pour en revenir au tout début, je ne faisais que soulever la facilité de l' insulte ''feeneyiste!''. Et je parlais de Cushing, vite récompensé par l' ignoble Roncali, de son acharnement contre ce pauvre Père Feeney...

Voilà je n' ai personne à qui parler de tout celà hormis mon épouse, avec qui je traverse les épreuves finales à grand peine, totalement isolés, perpétuellement en danger de mort, physique ou sprirituelle, tellement les hommes, même les plus ordinaires ont surpassé les anges déchus à présent. Tellement les portails biologiques sont passés hors-contrôle.

D' ailleurs je précise ici que nous regrettons amèrement: mariage et confirmations illicites, confessions illicites et, comble de l' horreur, communions illicites.
Le mariage clandestin que nous avions contracté aurait été suffisant, mais nous n' avions pas de témoins physiques ce jour là, qui plus est nous étions dépourvus d' entourage capable de comprendre. Pour le reste, nous étions de bonne foi et voulions seulement régulariser la situation, ce qui n' intéressait personne, c' est comme ça qu' on a fait notre petit tour de France, propulsés à coup de gifles. Alleluïa.

Désolé de vous avoir fait perdre du temps,

bien à vous.

AMDG

Votre dernière réponse semble faire un petit demi-pas en la bonne direction du retour ou de l’arrivée à la Vérité, mais un petit demi-pas seulement, puisqu’en semblant toujours refuser l’exception à la règle commune.

Sinon à quoi bon rappeler cette règle commune, que ceux que vous nommez “druides” ne rejettent nullement non plus, en citant inutilement toute une série de texte la rappelant, après cette précision faite dès ma première réponse : « Les multiples textes d’autorité rappelant la nécessité du Baptême d’eau comme canal ordinaire de la grâce pour être sauvé, nous sont connus. Inutile, donc, en effet, de les étaler, pour rappeler cette loi et nécessité commune.» ?


Ce qui me ferait perdre inutilement du temps n’est pas de répondre à qui cherche vraiment la Vérité, mais serait le recours à des faux-fuyants, pour éviter de la reconnaître explicitement, qui oblige à s’y attarder.

Or, à quoi donc ressemble ceci ? : 1̊ “Ensuite, je n' ai pas le droit de tirer des conclusion par le catéchisme de Trente, il est réservé aux prêtres de paroisses, et seulement certains passages doivent être transmis aux laïcs.”, surtout juste après avoir écrit cela : “je suis arrivé à la conclusion de non-juridiction tout seul comme un grand, en lisant le Code de 1917" ? Un catéchisme, dont le propre est d’expliciter les vérités, serait dès lors plus “réservé aux prêtres” que le Code de Droit Canon ?

Et cela ? : 2̊ “Je comprends que les adultes doivent recevoir le Baptême AVEC le désir de le recevoir, AUT, sans contrainte et en connaissance de cause.”

D’abord, le sens authentique exprimé par ce Canon du Concile de Trente vous était on ne plus expressément explicité par ce passage de son Catéchisme : « Malgré cela l'Eglise n'est pas dans l'usage de donner le Baptême aux adultes aussitôt après leur conversion. Elle veut au contraire qu'on le diffère un certain temps. Ce retard n'entraîne point pour eux les dangers qui menacent les enfants, ainsi que nous l'avons dit plus haut. Comme ils ont l'usage de la raison, le désir et la résolution de recevoir le Baptême, joints au repentir de leurs péchés, leur suffiraient pour arriver à la grâce et à la justification, si quelque accident soudain les empêchait de se purifier dans les Fonts salutaires ; c.à.d. s’ils ne pouvaient pas recevoir de fait le Baptême d’eau, leur désir et résolution suffiraient. Comment être plus clair ?

Par ailleurs, vue votre échappatoire : “Je comprends que les adultes doivent recevoir le Baptême AVEC le désir de le recevoir, AUT”, sachez d’une part que aut signifie ou, et non pas avec (=cum), et qu’une traduction plus littérale et au mot à mot coupe encore plus court à votre fausse interprétation : sine eis aut eorum voto, à savoir : sans eux ou leur désir ; ce qui est encore plus explicité dans le canon 737, que vous pourrez lire “tout seul comme un grand” : « 1. Baptismum, Sacramentorum janua ac fundamentum, omnibus in re vel saltem in voto, necessarium ad salutem..» ; soit : « 1. Le Baptême, porte et fondement des Sacrements, nécessaire au salut pour tous en fait ou au moins en désir..».


Dès lors, si vous avez vraiment le louable désir de ne pas me faire inutilement perdre du temps, il vous resterait à répondre sans ambiguïté à ces 2 questions :

1̊ acceptez-vous qu’ « Il ne faut donc pas seulement tenir avec la Sainte Eglise la règle commune qu’Elle enseigne, mais encore tenir avec la Sainte Eglise l’exception qu’Elle n’enseigne pas moins » ?

2̊ acceptez-vous son enseignement que le Baptême est nécessaire au salut pour tous en fait ou au moins en désir ?


« Est-est non-non ; quod autem his abundantius est, a malo est » (Mt. 5,37). « Veritas liberabit vos.» (Jn. 8,32).

Ainsi, vous continueriez à sortir des erreurs que vous déplorez à juste titre.

Que Dieu daigne vous prendre en pitié et finir de vous ramener à la Vérité sur ce point.
Si vis pacem
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Si vis pacem »

 
Abbé Zins a écrit : sam. 18 sept. 2021 16:54 
à quoi bon rappeler cette règle commune, que ceux que vous nommez “druides” ne rejettent nullement non plus, en citant inutilement toute une série de texte la rappelant …
 
 Peut être Sursum Corda n’appréhende-t-il pas que seul le cas de nécessité permet au désir de remplacer le sacrement ? Autrement dit : le baptême de désir ne peut exister sans son corollaire obligé ; l'article de la mort et l’impossibilité de recevoir effectivement le sacrement de l’eau.




A toutes fins utiles :
Sursum Corda a écrit : mer. 15 sept. 2021 22:30 
PS1: pour votre gouverne, sachez que ''monsieur'' est un titre réservé aux Saints et au Pape, même wikipédia est au courant.
 
 Voici les définitions du mot « Monsieur » données par le dictionnaire de l'Académie Française en ses différentes éditions :

Pour les éditions suivantes : la 1° édition (1694) ; la 2° édition (1718) ; la 3° édition (1740) ; la 4° édition (1762) et la 5° édition (1798) : 
               « Qualité, titre que l'on donne par honneur, civilité, bienséance aux personnes à qui on parle, à qui on écrit. »

Pour les 6° édition (1835) et 7° édition (1878) :
               « Qualité, titre que l'on donne par civilité, par bienséance aux personnes à qui on parle, à qui on écrit. »

Pour la 8° édition (1935) :
               « Qualité, titre que l'on donne à celui ou à ceux à qui on parle ou à qui on écrit, par déférence, par civilité. »

enfin pour la 9° édition (2011) :
               « I. Titre d’honneur qu’on donne à un homme, en lui parlant ou en parlant de lui.
                 2. Titre qu’on donne à un homme à qui l’on parle ou écrit, ou de qui l’on parle, par déférence, par civilité. »
 
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Sursum Corda
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Sursum Corda »

J' avais ça comme info: https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Monsieu ... C3%A9gime)
J' ai pensé: âge d' or / renaissance / république
Mr pour les Saints / Mr pour le cadet du Roi / Mr pour toute la lie... Tout un symbole d' usurpation.

Par ''tout seul comme un grand'', j' entendais ironiquement et, dangereusement. Attendu que je suis effectivement ''very stupid''.

Merci j' ai bien trouvé le canon 737 et il n' y a pas de AUT, au sujet duquel j' avais dis AVEC alors que je voulais dire ET.

Ce que je comprends de ce canon, c' est que, en cas de malheur, un cathécumène mort avant l' ondoiement, ce qui serait rarissime, pourrait être sauvé.

Mais est-ce à dire qu' un chamane péruvien qui viendrait de se suicider pourrait être sauvé ?

Où sont les limites de ces lois d' exceptions ?

Et aussi, svp est-ce que vous auriez des références magisterielles ou une encyclique, ou un Concile qui expliquerait la chose ?

Merci

PS4: je suis autiste asperger ( DTP sanofi pasteur 1974 à la naissance ) ET bilieux-mélancolique, ceci n' étant pas une excuse, veuillez tout de même bien vouloir pardonner la forme de mon approche.
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Si vis pacem »

 
Sursum Corda a écrit : mar. 21 sept. 2021 22:50 
est-ce à dire qu' un chamane péruvien qui viendrait de se suicider pourrait être sauvé ?

Où sont les limites de ces lois d' exceptions ?

Et aussi, svp est-ce que vous auriez des références magisterielles ou une encyclique, ou un Concile qui expliquerait la chose ?
 
 Monsieur l’abbé Zins vous a déjà fourni des références doctrinales. Cependant, vous pourrez trouver une explication de « la chose » dans l’extrait suivant de la session VI (chapitre III et IV) du Concile de Trente :
Canones et decreta sacrosancti oecumenici et generalis Concilii Tridentini – Sessio VI, cap. III & IV a écrit : 
Caput III
... nam, sicut revera homines, nisi ex semine Adæ prorogati nascerentur, non nascerentur injusti ; cum ea propagatione, per ipsum dum concipiuntur, propriam justitiam contrahant : ita, nisi in christo renascerentur, numquam iustificarentur ; cum ea renascentia per meritum passionis eius gratia, qua iusti fiunt, illis tribuatur. Pro hoc beneficio apostolus gratias nos semper agere hortatur patri, qui dignos nos fecit in partem fortis sanctorum in lumine, et eripuit de potestate tenebrarum, transtulitque ; in regnum filii dilectionis suæ ; in quo habemus, redemptionem et remissionem peccatorum.

Caput IV
Quibus verbis justificationis impii descriptio insinuatur, ut si translatio ab eo statu in quo homo nascitur filius primi Adæ in statum gratiæ et aptionis filiorum dei per secundum Adam Iesum Christum salvatorm nostrum quæ quidem translatio post evangelium promulgatum, sine lavacro regenerationis, aut eius voto fieri non potest, ficut scriptum est : Nisi quis renatus fuerit ex aqua t spiritu sancto, non potest introire in regnum dei.
 
 
Le saint Concile de Trente œcuménique et général – Session VI, chapitre III & IV a écrit : 
Chapitre III
... car de la même façon qu'en effet les hommes ne naîtraient pas injustes et coupables, s'ils ne descendaient et ne tiraient leur origine de la race d’Adam ; puisque c'est par cette suite de génération qu'ils contractent par lui, lors qu'ils sont conçus, l'injustice qui leur devient propre : de même, s'ils ne renaissaient en Jésus-Christ, ils ne seraient jamais justifiés ; puisque c'est par cette renaissance, en vertu du mérite de sa Passion, que la Grâce, par laquelle ils sont justifiés, leur est donnée. C'est pour ce bienfait que l'Apôtre nous exhorte, de rendre continuellement grâces à Dieu le Père, qui nous a rendus dignes d'avoir part au sort, et à l'héritage des Saints dans la lumière ; et qui nous a retirés de la puissance des ténèbres et nous a transférés dans le Royaume de son Fils bien-aimé, par lequel nous sommes rachetés et nous avons la rémission de nos péchés.

Chapitre IV
Ces paroles font voir que la Justification de l'impie, n'est autre chose que la translation, et le passage de l'état auquel l'homme naît enfant du premier Adam, à l’état de Grace, et d'enfant adoptif de Dieu, par le second Adam Jésus-Christ Notre Sauveur ; et ce passage, ou cette translation depuis la publication de l’Évangile, ne se peut faire sans l'eau de la régénération, ou sans le désir d'en être lavé, suivant qu'il est écrit, que si un homme ne renaît de l'eau et du Saint Esprit, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu.
 
 Après lecture de cet extrait, vous devriez être en mesure de répondre à vos questions.
 
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Sursum Corda
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Sursum Corda »

Bien reçu.

Avant-dernière précision, le terme druide, c' est rapport au gallicanisme ambiant, Gaule/gaulois/druides, et aussi au côté sectaire, voir new-age.
L' adoration de la soutane.
Exception faite de l' abbé Rioult, pour ce que j' ai pu constater, qui est le seul à dire publiquement qu' il n' a pas de paroisse et qu'il est seulement un soldat en déroute prêt à rendre service à l' occasion...

Bien à vous, adieu.

AMDG
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Abbé Zins
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Abbé Zins »

Sursum Corda a écrit : ven. 24 sept. 2021 11:30 Bien reçu.

Avant-dernière précision, le terme druide, c' est rapport au gallicanisme ambiant, Gaule/gaulois/druides, et aussi au côté sectaire, voir new-age.
L' adoration de la soutane.
Exception faite de l' abbé Rioult, pour ce que j' ai pu constater, qui est le seul à dire publiquement qu' il n' a pas de paroisse et qu'il est seulement un soldat en déroute prêt à rendre service à l' occasion...

Bien à vous, adieu.

AMDG

Qu'il est difficile, n'est-ce pas ? de reconnaître s'être trompé tout en ayant voulu faire la leçon à autrui. Alors on préfère s'éloigner, en continuant à prendre un ton de donneur de leçon. L'humilité s'abaissant sera exaltée, l'amour-propre se haussant sera rabaissé. Voici la servante du Seigneur, qu'il me soit fait selon Votre Parole.

En ce sermon sur le XVIIIe Dimanche après la Pentecôte, se trouvent justement cités des exemples concernant les exceptions du Baptême de désir et de sang : https://youtu.be/kwc_DVZFwzE

Daigne Notre Dame nous obtenir la grâce d'imiter son humilité.
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Laetitia
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Laetitia »


Lu aujourd'hui dans le premier sermon de S. Louis de Grenade pour le XVIIIe dimanche après la Pentecôte :
Sermon I pour le XVIIIe dimanche après la Pentecôte a écrit :
...la foi disparue, il ne reste plus rien dans l'homme de la divine semence qui pouvait le sauver de la mort éternelle et l'exciter à la piété et à la justice. Or, la foi s'en va d'ordinaire quand on résiste avec opiniâtreté à sa lumière et à ses avertissements secrets...
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Sursum Corda
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Sursum Corda »

Dernière précision : pour l' instant, je n' ai pas reconnu m' être trompé, voyez-vous, car je n' ai toujours pas pris de décision sur le sujet. Si besoin je le ferais, mais votre empressement m' inquiète.

Pour être franc, je n' ai pas confiance en vous, à priori. Et il m' est difficile de prendre une décision aussi grave sans avoir bien pesé le pour et le contre, surtout en tant que ''very stupid''.
Il ne me semble pas que vous soyez l' Évêque de feu le diocèse où je réside de fait, ni un juge de feu le Saint-Office, et pourtant vous semblez bien sentencieux.

Je vous ai plusieurs fois présenté des excuses pour la forme, avec tentatives d' explications brèves.

Je remarque en passant le retour de votre admiratrice qui vient se repaître sur ce qu' elle a cru être mon cadavre virtuel, bien drapée de belles phrases d' un Saint Louis, c' est impressionnant.

Bravo, le coq a vaincu le poussin malformé, comme dans les pires cauchemars de Darwin.

Bien à vous,

À Dieu.
Si vis pacem
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Re: La "puissance sacramentelle" du coeur de l'homme

Message par Si vis pacem »

 
Sursum Corda a écrit : lun. 27 sept. 2021 21:21 
Dernière précision : pour l' instant, je n' ai pas reconnu m' être trompé, voyez-vous, car je n' ai toujours pas pris de décision sur le sujet.
 
 L’infatué dans toute sa splendeur … « Je n’est toujours pas pris de décision …. » Rien que cela ??? !!!

Le problème, Monsieur, c’est que vous n’avez rien à décider ici ... mais à vous soumettre à l'enseignement de l’Église : 
Décret du Saint-Office excommuniant le R. P. Léonard Feeney S.J. a écrit : 
Nous sommes obligés par la foi divine et catholique à croire toutes les choses que contient la Parole de Dieu, Ecriture ou Tradition, et que l’Eglise propose à la foi comme divinement solennelle, mais encore par son magistère ordinaire et universel (1)
     […]
Le Sauveur, en effet, a confié l’explication des choses contenues dans le dépôt de la foi, non pas au jugement privé, mais à l’enseignement de l’autorité ecclésiastique.
     […]
C’est pourquoi nul ne se sauvera si sachant que l’Église est d’institution divine par le Christ, il refuse malgré cela de se soumettre à elle ou se sépare de l’obédience du Pontife romain, Vicaire du Christ sur la terre.



(1)Denzinger n° 1792
 
 Vous avez donc beau invoquer « feu » qui vous voulez ou vous « draper » dans une fausse humilité … cela n’empêche pas qu’à la lecture de cet extrait du jugement de « feu le Saint-Office » concernant l’excommunication du R.P. Feeney … il y a tout lieu de craindre pour votre salut
 
Sursum Corda a écrit : lun. 27 sept. 2021 21:21 
Si besoin je le ferais, mais votre empressement m' inquiète.
 
 Ben moi … c’est votre résistance qui m’inquiète … savez-vous seulement si vous serez toujours là demain matin ? Par contre le besoin ...
 
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