Les sectes Thuciste et Lefebvriste sont une "église" EXOGÈNE, sans Vicaire du Christ (par INTERREGNVM1958)

[InHocSignoVinces]

*Note d'InHocSignoVinces : La Vérité triomphera, peu importe quelles que soient les têtes qui tomberont. « Gardez-vous du levain, c'est-à-dire de l'hypocrisie, des pharisiens. Il n'y a rien de caché qui ne sera découvert, rien de secret qui ne sera connu. Par conséquent, ce que vous avez dit dans les ténèbres sera entendu en pleine lumière ; et ce que tu as murmuré dans les caves sera proclamé sur les toits." (Luc 12, 1-3) Que la lumière soit donc pour la plus grande gloire de Dieu et pour le bien des âmes...

Les sectes Thuciste et Lefebvriste sont une "église" EXOGÈNE, sans Vicaire du Christ

(par INTERREGNVM1958)

"Cette chaire de Pierre est le centre de la vérité et de l'unité catholiques, c'est-à-dire la tête, la mère et la maîtresse de toutes les Églises auxquelles tout honneur et toute obéissance doivent être offerts."

Sa Sainteté Pie IX, Inter multiplices

"QUE POURRAIT-ON ATTENDRE DE CES ÉVÊQUES, QU'ILS NE SERONT PAS ENTRÉS PAR LA VRAIE PORTE, ou plutôt quels maux la religion pouvait-elle redouter de ces hommes, qui, s'enroulant dans le piège de l'erreur, ne pouvaient en aucune façon les conjurer ? Et certainement, les pasteurs de cette nature, quels qu'ils soient, N'AURAIENT AUCUN POUVOIR DE LIER OU DELIER, CAR ILS N'AURAIENT PAS DE MISSION LÉGITIMES, ET IMMÉDIATEMENT ILS SERONT DÉCLARÉS HORS DE LA COMMUNION DE L'ÉGLISE PAR CE SAINT-SIEGE, CAR C'EST LA PÉNALITÉ, QUI A TOUJOURS ÉTÉ IMPOSÉE À TOUS LES INTRUS..."

Sa Sainteté Pie VI au Cardinal de la Rochefoucault
Recueil de discours des consistoires, page 97

Les congrégations traditionalistes et sédévacantistes, telles que le Thucisme et le Lefebvrisme sédévacantiste et d'autres sectes hybrides, prétendent être l'Épouse de Notre Seigneur Jésus-Christ, mais ce n'est pas le cas.


Ils ont configuré une Église exogène, sans Vicaire du Christ. S'arrogeant une juridiction qu'ils n'ont pas, appliquant invalidement et illégalement toutes sortes de raccourcis, d'interdictions sous l'abus d'epikeia, administrant illégalement et invalidement les sacrements, étant qu'en ces temps les seuls que nous ayons sont le baptême et le mariage, puisqu'ils ne nécessitent pas de ministre ordonné, un ministre catholique, c'est-à-dire un ministre validement et légalement ordonné, ceci étant la légalité nécessaire à la catholicité ; citant Sa Sainteté Pie XII dans la dernière encyclique qu'il nous a laissée avant sa mort, comme un avertissement :

"Et les actes qui appartiennent au pouvoir du Saint Ordre, accomplis par lesdits ecclésiastiques, même s'ils sont valides, en supposant que la consécration qui doit leur être conférée a été valide, sont gravement illicites, c'est-à-dire pécheurs et sacrilèges. Ils viennent très délibérément les paroles d'avertissement prononcées par le Divin Maître : Celui qui n'entre pas dans la bergerie par la porte, mais monte par un autre chemin, est un voleur et un meurtrier ; les brebis reconnaissent la voix de leur vrai berger et le suivent docilement, mais ils ne vont pas après l'étranger, mais le fuient, parce qu'ils ne reconnaissent pas la voix des étrangers."

Ils ont soulevé toutes sortes d'irrégularités faisant allusion à l'epikeia, celle-ci, réservée aux seuls bergers légitimes, avec titulus coloratus, titre apparent pour la fonction qui s'exerce, puisque l'epikeia ne peut leur accorder le pouvoir qu'ils ne possèdent pas, ni restaurer le pouvoir que la loi leur a enlevé; et que seul le pape supplée à l'absence de ladite juridiction, étant le seul, le seul, qui possède la juridiction suprême, pleine et universelle, un pape que nous n'avons pas eu depuis le 9 octobre 1958.


Ils ont fabriqué un conglomérat informe de sectes particulières, autocéphales, fractionnées et conflictuelles, comme une gigantesque hydre aux multiples têtes discordantes, dans laquelle le pseudo-prêtre ou le pseudo-évêque de service deviennent leurs propres prêtres, dans leurs domaines néo-gallicains.


Comment cela peut-il être l'Épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ ? Non, ce n'est pas possible et ce n'est pas le cas.


A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

"L'ecclésiastique apostat est le premier facteur que le diable recherche pour cette œuvre de rébellion. Il a besoin de la présenter d'une manière autorisée aux yeux des imprudents, et pour cela rien ne lui sert autant que l'approbation de quelque ministre de l'Église. Et comme, malheureusement, il ne manque jamais de clercs corrompus dans leurs mœurs, le chemin le plus courant de l'hérésie ; ou aveugles d'arrogance, cause aussi très habituelle de toute erreur ; ainsi, le diable n'a jamais manqué d'apôtres et de soutiens ecclésiastiques, quelle que soit la forme sous laquelle il s'est présenté dans la société chrétienne."

Félix Sardá y Salvany 1887

Saint Alphonse de Liguori après Saint Cyprien, nous dit :

« Que toutes les hérésies, tous les schismes, viennent de ce qu'on n'obéit pas au Prêtre de Dieu et qu'on ne considère pas qu'il n'y en a qu'un seul dans l'Église qui soit juge ici à la place de Jésus-Christ, que si tous les fidèles obéi, personne ne pouvait établir de schismes dans l'Église. »

Éléments de droit canonique
Carlos José Alvarez 1872
Page 44

L'une des affirmations est que dans De Ecclesia Christi de Timothy Zapelena cite (spéculativement) que même si tous les papes du schisme occidental avaient été des antipapes, le Christ en aurait directement fourni la juridiction autant que nécessaire, mais ils sont spéculations sans aucune preuve magistrale, de la sixième édition du livre de Zapelena; citant Wilhelm Wilmers, un théologien jésuite allemand décédé en 1899, que nous citerons également pour réfuter certaines affirmations, et il est évident qu'il ignorait la définition infaillible de la juridiction de Sa Sainteté Pie XII et comment elle parvient à l'évêque catholique UNIQUEMENT par le Pontife Romain et non par Notre-Seigneur Jésus-Christ, car elle atteint uniquement et immédiatement le Successeur du Prince des Apôtres ; donc ces Évêques devenus Antipapes n'auraient jamais eu la juridiction directement de Notre-Seigneur puisqu'ils n'étaient pas Papes, nous pouvons lire cette définition infaillible en l'an 1942, 1943, 1954 et 1958 que nous laisserons plus bas, on peut aussi dire que cette acceptation de l'"opinio theologorum" de Zapelena et Wilhelm Wilmers la prenant comme une vérité au-dessus du "sensus Ecclesiae" a également été réprimandée par Sa Sainteté Pie XII au Palais pontifical de Castel Gandolfo le vendredi 14 septembre 1956, que nous citons également ci-dessous, pour ne pas dire que ladite déclaration est contraire à Sa Sainteté Pie VI celle du 28 novembre 1786 condamnant l'hérésie de Febronius dans Super soliditate, puisque Zapalena citant Wilhelm Wilmers nous laisse entendre que Notre-Seigneur Jésus-Christ donnerait la juridiction qu'Il n'a donnée qu'à Saint Pierre comme nous le dit Sa Sainteté Léon XIII dans Satis Cognitum le 29 juin 1896 à trois évêques qui prétendent être le Pape ; peut-être que les défenseurs de cette opinion théologique nous suggèrent que tous les différents "papes" définis, par exemple ceux de la branche thuciste de Palmar de Troya, ont reçu juridiction sur leur troupeau par Notre-Seigneur Jésus-Christ, ou peut-être les adeptes de ladite opinion soutiennent que Notre-Seigneur Jésus-Christ a donné pouvoir sur son troupeau aux antéchrists et aux apostats, de Montini à Bergoglio, quelle follie et quel délire !!



"De Ecclesia Christi" de Timothée Zapelena SJ ; page 115

“Sit ergo responsio directa: secundum ea quae diximus in thesi 11, verus papa erat
Romanus i. e. Urbanus VI eiusque suecessores. Hic ergo poterat iurisdictionem dare etiam
episcopis aliarum obedientiarum (ob errorem communem fidelium simul cum titulo
colorato), Etiam electio Martini V videtur explicanda perfacultatem Concilio datam a
Gregorio XII. Ceterum si tres illos papas fingas nullos, deberes admittere iurisdictionem
suppleri (ob titulum coloratum) non sane ab Ecclesia, quae caret potestate suprema, sed ab
ipso Christo, qui singulis illis antipapis conferret iurisdictionem, quantum necesse erat. Sic
Wilmers, n. 200 in tine”

"Comme l'affirme saint Augustin et il est dit dans le décret, si certains défendent leur façon de penser, bien que fausse et perverse, mais sans animosité persistante, mais enseignant la vérité avec une demande prudente et prêts à se corriger quand ils la trouvent, en aucun cas comment peuvent-ils être considérés comme des hérétiques En effet, ils n'ont pas fait un choix en contradiction avec l'enseignement de l'Église. En ce sens, il semble qu'il y ait eu des désaccords entre certains docteurs, soit sur des aspects qui d'une manière ou d'une autre n'affectent pas la foi, soit aussi sur des aspects qui concernaient la foi, mais qui n'étaient pas encore définis par l'Église. MAIS, UNE FOIS QU'ILS ONT ÉTÉ DÉFINIS PAR L'AUTORITÉ DE L'ÉGLISE UNIVERSELLE, SI QUELQU'UN DÉFIAIT AVEC PERTINENCE CETTE ORDINATION, IL SERAIT CONSIDÉRÉ COMME HÉRÉTIQUE. Et cette autorité de l'Église réside principalement dans le Pape, puisqu'il est lu dans le Décret : Autant de fois qu'une question de foi est évoquée, je pense que tous nos frères et Évêques ne devraient pas ne la soumettez qu'à Pierre, c'est-à-dire à l'autorité de son nom. Avec ce genre d'autorité, ni saint Jérôme, ni saint Augustin, ni aucun des saints docteurs ne défendent leur façon de penser. C'est pourquoi saint Jérôme écrit : Telle est, bienheureux Pape, la foi que nous avons apprise dans l'Église. Et si nous y avons soutenu quelque chose avec moins d'habileté ou moins de prudence, nous souhaitons qu'il soit amendé par vous, qui possédez le siège et la foi de Pierre. Mais si notre confession est approuvée par le jugement de votre apostolat, quiconque essaiera de me blâmer prouvera qu'il est un inexpert ou un méchant, et même pas un catholique, mais un hérétique.

SAINT THOMAS D'AQUIN
Somme théologique, IIa-IIae. Question 11, Point 2, Solution 3

A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

Les thucistes fonctionnent frivolement sans le pape comme s'ils le pouvaient.
Nous disons que c'est impossible et qu'ils sont dans le schisme.


On nous dit dans "Satis Cognitum" de Sa Sainteté Léon XIII :

"Pour cette raison, si aucune hérésie ne peut être légitime, il n'y a pas de schisme qui puisse être considéré comme promu par la bonne loi."
"Rien n'est plus grave que le sacrilège du schisme : il n'y a pas de besoin légitime de briser l'unité"
« Et puisqu'il est impossible d'imaginer une société humaine vraie et parfaite qui ne soit gouvernée par quelque pouvoir souverain, Jésus-Christ a dû placer à la tête de l'Église un chef suprême, auquel toute la multitude des chrétiens serait soumise et obéissante. Cela aussi, de même que l'Église, pour être une en tant que rassemblement de fidèles, exige nécessairement l'unité de la foi, de même, pour être une en tant que société divinement constituée, elle doit avoir, de droit divin, l'unité de la foi, l'unité du gouvernement, qui produit et comprend l'unité de la communion ». « L'unité de l'Église doit être considérée sous deux aspects : d'abord, celui du lien mutuel des membres de l'Église ou de la communication qui existe entre eux, et ensuite, celui de l'ordre, qui lie tous les membres de l'Église à une seule tête »


« L'ordre des Évêques ne peut être considéré comme véritablement uni à Pierre, comme le Christ l'a voulu, qu'en tant qu'il est soumis et obéit à Pierre ; sans cela, il se disperse nécessairement dans une foule où règnent la confusion et le désordre." « Telle a été constamment la coutume de l'Église, soutenue par le jugement unanime des Saints Pères, qui ont toujours considéré comme exclu de la communion catholique et hors de l'Église quiconque s'écarte le moins du monde de la doctrine enseignée par le Magistère authentique. « Si quelqu'un dit qu'il ne croit pas à ces erreurs, il ne s'ensuit pas qu'il doive croire et se dire chrétien catholique. Car il peut y avoir et peut surgir d'autres hérésies qui ne sont pas mentionnées dans cet ouvrage, et quiconque en embrasserait ne serait-ce qu'une seule cesserait d'être un chrétien catholique."

Sa Sainteté Léon XIII nous parle avec cette force.



De plus, les Thucistes et les Lefebvristes sédévacantistes servent et fonctionnent dans l'hérésie de "reconnaître et résister", qui transgresse Sa Sainteté Pie XII, qu'ils disent être le dernier Vrai Pape, auquel cependant ils résistent et n'obéissent pas dans son Magistère infaillible et Son Autorité suprême, qui est celle de Notre-Seigneur Jésus-Christ, mais gonflés de désobéissance persistante, ils ne s'intéressent qu'à ce qu'ils savent ne pas leur nuire en ignorant les avertissements, les interdictions, les sanctions qu'ils savent dirigées contre leurs actes illicites, ces actes étant nuls de plein droit et sans effet ipso facto.



Saint Cyprien, dans le livre "L'unité de l'Église" écrit le paragraphe suivant qui vient comme un gant à tous les pseudo-clercs sédévacantistes :

« Des hérésies ont souvent surgi et continuent de surgir à cause de cela, parce que des esprits mécontents se disputent, ou parce que des fauteurs de trouble déloyaux ne gardent pas l'unité. Mais le Seigneur permet et endure ces choses, laissant intacte la liberté de l'homme, de sorte que lorsque nos esprits et nos cœurs sont testés par la pierre de touche de la vérité, la foi inébranlable des approuvés apparaîtra dans la lumière la plus claire. Ceci est prédit par le Saint-Esprit par l'intermédiaire de l'Apôtre lorsqu'il dit : Il doit aussi y avoir des hérésies, afin que ceux qui sont approuvés puissent être révélés. Ainsi les fidèles sont éprouvés, ainsi les infidèles sont découverts, ainsi, avant même le jour du jugement, déjà ici-bas, les âmes des justes et des injustes sont distinguées, et le bon grain est séparé de l'ivraie. Cela explique pourquoi certains, soutenus par leurs fidèles associés, s'emparent de l'autorité sans aucune sanction divine, devenant prélats quel que soient les règles de nomination, et, n'ayant personne pour leur conférer l'épiscopat, ils prennent le titre d'évêque de leur propre autorité. Dans les Psaumes, le Saint-Esprit décrit ces hommes comme étant assis sur la chaise de la peste ; ils sont des pestes et des fléaux pour la foi, des trompeurs avec la langue d'un serpent, des corrupteurs habiles de la vérité, crachant un poison mortel de leurs crocs venimeux ; dont la parole se propage comme un cancer ; dont la prédication injecte un virus mortel dans le cœur et la poitrine de tous."


L'unité de l'Église catholique
Cyprien, saint, évêque de Carthage
Publié par Westminster, Maryland : Newman Press
Année 1957
Page 53

A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

Il faut graver en lettres de feu ce qu'on nous a dit infailliblement, le pouvoir de juridiction qui est conféré directement de droit divin au Souverain Pontife, atteint les Évêques de ce même droit, mais seulement par l'intermédiaire du Successeur de Pierre.


Le défenseur de l'hérésie gallicaniste, Mgr Jacques-Bénigne Bossuet écrit :

« Quelle opinion insensée d'affirmer que la juridiction des évêques descend du pape"

Le théologien et hérésiarque Jean-Charlier Gerson, père de l'hérésie conciliariste et défenseur maximal de l'épikéie, a écrit :

"le pape, en usurpant la juridiction et l'honneur des autres évêques, pèche mortellement"

Le père de l'hérésie fébronienne Johann Nikolaus von Hontheim a écrit :

"Par conséquent, l'élection et la confirmation des évêques, leur transfert et leur révocation, l'établissement de nouveaux sièges, la condamnation des hérésies et d'autres questions similaires d'intérêt local, ne relèvent pas du pouvoir primordial. Il en va de même pour l'octroi d'avantages et d'exemptions. des ordres religieux ».

Johann Joseph Ignaz von Dollinger, père du schisme vieux-catholique, a écrit :

"parce que les papes s'étaient appropriés les droits les plus importants et les plus précieux des métropolitains."

*Note : nous ne citons pas les sources car c'est interdit car ce sont des livres d'hérétiques.


Hier criaient les conciliaristes, les fébroniens, les gallicans, les joséphinistes, les régalistes, etc. et aujourd'hui crient les thucistes et les lefebvristes :

SALUS POPULI SUPREMA LEX ESTO! (Que le salut des gens soit la loi suprême !)

"... ils se servent de leur plume et de leur langue pour répandre des doctrines visant un but si élevé : en chemin, ceux à qui cela correspond par la loi savent qu'il ne manque pas dans l'église de Dieu de ministres aux poitrines viriles et insouciants bien sûr, qu'ils traîneront tout cela pour rétablir l'antique discipline de l'Église, la discipline des temps apostoliques, l'unique objet de tous leurs efforts.

Ainsi on ne les entendra jamais déposer une proposition, au paiement de laquelle ils ne délimitent pas les canons dans un ballon ou ne choisissent parmi les infinités des nombreux conciles ceux qui peuvent servir leurs fins, même s'ils doivent user de quelque interprétation hasardeuse ou tordre le sens et l'esprit des mêmes canons.


Ce n'est pas important : salus populi suprema lex esto, comme il met en épigraphe l'auteur avec une occasion admirable; et puis sous le prétexte de cette loi suprême en politique, les crimes les plus horribles ont été commis, et ils ont été représentés les scènes les plus sanglantes, il peut bien être possible en matière ecclésiastique de bouleverser le merveilleux ordre établi depuis saint Pierre ici, de secouer sa chaise, la pierre angulaire de l'édifice mystique, et de proclamer hypocritement le schisme d'abord pour voir ce que ça fait, et ensuite avec l'audace la plus flagrante."


Revue catholique La censure
Contre le pamphlet janséniste, fébronien et gallicaniste de l'abbé Genaro Cestari
Année 1844


A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

Code de droit canonique de 1917
Canon 1324.

Il ne suffit pas d'éviter la dépravation hérétique, mais il faut aussi fuir assidûment les erreurs qui en sont plus ou moins proches. C'EST POURQUOI CHACUN DOIT, EN EFFET, SUIVRE LES CONSTITUTIONS ET DÉCRETS PAR LESQUELS CES OPINIONS SONT PROSCRITES ET INTERDITES PAR LE SAINT-SIÈGE.

Can. 1324. Satis non est haereticam pravitatem devitare, sed oportet illos quoque errores
diligenter fugere, qui ad illam plus minusve accedunt; quare omnes debent etiam
constitutiones et decreta servare quibus pravae huiusmodi opiniones a Sancta Sede
proscriptae et prohibitae sunt.

Saint Pie X, Discours "Vera Soddisfazione" du 10 mai 1909 ;

« Ainsi, avec un système de sophismes et d'erreurs, ils falsifient la notion d'obéissance inculquée par l'Église ; ils revendiquent le droit de juger les actes de l'autorité jusqu'à les ridiculiser ; ILS S'ATTRIBUENT LA MISSION D'IMPOSER UNE RÉFORME , UNE MISSION QU'ILS N'ONT PAS REÇUE NI DE DIEU NI D'AUCUNE AUTORITÉ. Ils limitent l'obéissance à des actions purement extérieures, bien qu'ils ne résistent pas à l'autorité ou ne se rebellent pas contre elle, opposant le jugement défectueux d'un individu sans véritable compétence, ou de sa propre conscience intérieure trompée par de vaines subtilités, au jugement et au commandement de celui qui, par mandat divin, est son juge, maître et berger légitime.


Oh mes chers jeunes ! Écoutez les paroles de quelqu'un qui vous souhaite vraiment du bien : ne vous laissez pas séduire par le simple spectacle extérieur, mais soyez forts pour résister aux illusions et à la flatterie, et vous serez sauvés."


Acta Apostolicae Sedis, vol. I (1909), pp. 461-464;
Enseignements pontificaux : L'Église, nos. 716-720 ;

C'est pourquoi nous disons avec l'orthodoxie, les saints pères, avec les successeurs de Saint Pierre, Prince des Saints Apôtres, bref, nous disons avec la Sainte Église Catholique Apostolique et Romaine :

S. S. Pie XII 1942 :
AUX PASTEURS ET MOYENS DE CARÊME DE ROME

"...le Vicaire du Christ est le centre de son unité et la source de l'autorité, puisque tous les autres Pasteurs doivent lui être unis, QUI REÇOIVENT IMMÉDIATEMENT DE LUI LEUR JURIDICTION ET MISSION ; c'est à lui de les confirmer dans la foi, comme Pasteur premier et universel, et, comme Pasteur des Pasteurs, prévenir et corriger les abus, garder inviolable le dépôt de la doctrine du Christ et la sainteté des mœurs, condamner authentiquement l'erreur. Lui seul, successeur de Pierre, pierre angulaire de l'Église."

Discours et messages radio de Sa Sainteté Pie XII Volume II page 390

S.S. Pie XII 1943
MYSTICI CORPORIS CHRISTI :

Par conséquent, les Évêques ne doivent pas seulement être considérés comme les principaux membres de l'Église universelle, comme ceux qui sont liés par un lien très spécial avec le divin Chef de tout le Corps et pour cette raison on les appelle à juste titre "les principales parties des membres du Seigneur", mais, en ce qui concerne leur propre diocèse, ils font paître et gouvernent comme de véritables bergers, au nom du Christ, le troupeau qui a été confié à chacun ; mais, ce faisant, ils ne sont pas complètement indépendants, mais sont placés sous l'autorité du Pontife Romain, bien qu'ils jouissent de la juridiction ordinaire, QUE LE MÊME SOUVERAIN PONTIFE LEUR A DIRECTEMENT COMMUNIQUÉ."

A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

S.S. Pie XII 1954:
AD SINARUM GENTEM

"En outre - ce qui de la même manière a été établi par disposition divine - le pouvoir d'ordre (en vertu duquel la Hiérarchie ecclésiastique est composée d'évêques, de prêtres et de ministres) est accessible en recevant le sacrement de l'Ordre; LE POUVOIR DE COMPÉTENCE, EN PLUS, QUI EST ATTRIBUÉE DIRECTEMENT DE DROIT DIVIN AU SOUVERAIN PONTIFE, VIENT AUX ÉVÊQUES DU MÊME DROIT, MAIS UNIQUEMENT PAR LE SUCCESSEUR DE SAINT-PIERRE, à qui non seulement les simples fidèles, mais aussi tous les évêques doivent être constamment soumis et liés par l'hommage de l'obéissance et par le lien de l'unité."

S.S. Pie XII 1958:
AD APOSTOLORUM PRINCIPIS

"... nous nous sommes référés à nouveau à cet enseignement par ces mots "LE POUVOIR DE JURIDICTION QUI EST DIRECTEMENT CONFÉRÉ DE DROIT DIVIN AU SOUVERAIN PONTIFE, ATTEINT LES ÉVÊQUES DE CE MÊME DROIT, MAIS UNIQUEMENT PAR LE SUCCESSEUR DE PIERRE, à qui non seulement le fidèles, mais aussi tous les Evêques sont tenus d'être constamment soumis et d'adhérer à la fois par le respect de l'obéissance et par le lien de l'unité."

DISCOURS DU SAINT PAPE PIE XII
pour la sixième semaine nationale italienne de mise à jour pastorale
Salle des Suisses, Palais pontifical de Castel Gandolfo
vendredi 14 septembre 1956

"... une parole sur la base du magistère jure divin du pape et des évêques et sur l'enseignement des théologiens, qui exercent leur office non par droit divin, mais par délégation de l'Église, et restent donc soumis au l'autorité et la surveillance du Magistère légitime.



Si, en tant que théologiens, ils s'intéressent activement à la "Guidance" et présentent des arguments scientifiques, la question pourrait se poser de savoir si la parole des théologiens
ou celle du Magistère de l'Église offre plus de poids comme garantie de vérité.


À cet égard, l'Encyclique Humani Generis déclare : Quod quidem depositum
(fidei) ... nec ipsis theologis divinus Redemptor concredidit authentice
interpretandum, sed soli Ecclesiae Magisterio... Quare Decessor Noster imm.
mem. Pío IX, docens nobilissimum theologiae munus illud esse, quod ostendat
quomodo ab Ecclesia definita doctrina contineatur in fontibus, non absque
gravi causa illa addidit verba: eo ipso sensu, quod ab Ecclesia definita est"
Et le divin Rédempteur n'a pas confié l'interprétation authentique de ce dépôt à des théologiens, mais seulement au Magistère de l'Église. Pie IX enseigne que la tâche la plus importante de la théologie est de montrer comment la doctrine définie par l'Église est contenue dans les sources, et ce n'est pas sans raison sérieuse qu'il a ajouté ces mots : dans le même sens dans lequel elle a été définie par l'Église.


Ce qui est donc décisif pour la connaissance de la vérité, ce n'est pas "l'opinio theologorum", mais le "sensus Ecclesiae". Le contraire serait de transformer les théologiens presque en « magistri magisterii », ce qui est une erreur évidente.

PIE VI
du 28 novembre 1786
Super soliditate

"Par conséquent, l'insouciance hâtive et aveugle de cet homme est déplorable, qui a entrepris de re-proposer avec son libelle sinistre les erreurs condamnées par tant de décrets, et qui a dit et insinué ici et là, parmi de nombreuses tortuosités, que: tout évêque appelé par Dieu pour gouverner l'Église n'est pas inférieur au Pape et n'est pas doté de moins de pouvoir; Le Christ, par lui-même, a donné à tous les apôtres le même pouvoir ; certains croient que certains choses ne peuvent être obtenues et accordées que par le Pontife, ce qui de la même manière, tant en termes de consécration que de juridiction ecclésiastique, peut être obtenu par n'importe quel évêque ; Le Christ aurait voulu que l'Église soit dirigée comme une république."

LÉON XIII
1896
SATIS COGNITUM
LETTRE ENCYCLIQUE SUR L'UNITÉ DE L'ÉGLISE

"La Sainte Ecriture atteste que les clefs du Royaume des Cieux n'ont été données qu'à Pierre, et que le pouvoir de lier et de délier a été accordé aux Apôtres et à Pierre ; mais rien n'indique que les Apôtres aient reçu le pouvoir suprême sans Pierre et contre Pierre. Un tel pouvoir qu'ils n'ont certainement pas reçu de Jésus-Christ."

A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

PIE VI
1786
Bref Super Soliditate Petrae (Rome, 28 novembre 1786)

« que c'était l'homme qui avait reçu de Dieu les clefs du royaume des cieux avec le pouvoir de lier et de délier ; celui à qui aucun évêque ne pouvait être égalé ; de qui les évêques eux-mêmes reçoivent leur autorité, comme lui-même a reçu de Dieu son pouvoir suprême ; qu'il est vraiment le vicaire du Christ, le chef visible de l'Église, le juge suprême des fidèles.


[...]



clés que, pour être communiquées à d'autres, Optat de Milevi, après Tertullien, n'a pas hésité à proclamer que seul Pierre les a reçues.



[...]



tant de décrets répétés des Pontifes et des Conciles, par lesquels ceux qui nient que le bienheureux Pierre, Prince des Apôtres, le Pontife romain, son successeur, ait été par Dieu constitué chef visible de l'Église et vicaire de Jésus-Christ, sont condamnés ; que le plein pouvoir lui a été donné pour gouverner l'Église et que la véritable obéissance lui est due par tous ceux qui portent le nom chrétien, et que telle est la force de la primauté qui par le droit divin qu'il obtient, qui précède tous les évêques, non seulement par le degré de son honneur, mais aussi par l'étendue de son pouvoir suprême.

INNOCENT 1er
417
IN REQUIRENDIS

"nous voulons suivre l'Apôtre de qui procède l'épiscopat lui-même et toute l'autorité de ce nom."

SAINT ALPHONSE MARIE DE LIGUORI

"Je suis prêt à donner ma vie pour défendre le pouvoir suprême du Pape, enlevez ce pouvoir et je n'ai pas peur de dire que l'autorité de l'Église a complètement disparu"

Éléments de droit canonique
Carlos José Alvarez 1872
Page 44

« Depuis saint Pierre jusqu'à présent, la voix uniforme des Pères et de la tradition, corroborée par le témoignage de tous les conciles généraux, reconnaît son successeur comme le Pontife Romain, Prince de toute l'Église, Évêque des Évêques, pasteur des pasteurs, centre d'unité, pierre fondamentale de l'Église, et à l'Église romaine racine et matrice de l'Église catholique, selon l'expression de Saint Cyprien. Et s'il ne s'agit pas là de paroles vides de sens et sans signification, il faut reconnaître en ce berger universel l'autorité première et naturelle pour instituer et donner la mission aux évêques »

Discours sur la confirmation des évêques
Archevêque Pedro Inguanzo y Rivero année 1813

« L'autorité du Souverain Pontife est la seule à qui Dieu a conféré la juridiction supérieure universelle sur les autres pasteurs, sans autres degrés ou ordres intermédiaires ; si l'autorité Métropolitaine, et toute autre introduite par les hommes, ne peut donc être regardée que comme une émanation et subrogation des premiers, comment douter que la faculté que ceux-ci exercèrent à tout moment, pour confirmer les Evêques, ils y parviennent par la communication et la participation du Pontife Romain ? Comment douter qu'il soit celui qui a le droit légitime et naturel de les instruire ? Sur quoi peut-on fonder un droit de retour ou de réintégration des facultés en faveur des Métropolitains, une fois révoqués et réservés à celui à qui ils appartiennent originairement ?

A qui appartient et doit appartenir désormais la confirmation des évêques ?
D. Francisco Martínez Dávila, imprimeur de la Chambre de S.M.
Année 1821

A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

"Le Pontife Romain a toujours été et continue d'être l'Evêque des Evêques, le Pasteur des Pasteurs, le Docteur universel, le Juge suprême, le Dispensateur de tous les trésors confiés à la Sainte Eglise et l'Autorité suprême de celle-ci dans l'exercice du pouvoir sous ses différentes formes de pouvoir sacerdotal, doctrinal, législatif, administratif, gouvernemental et judiciaire.



Le Pontife romain est celui qui institue les évêques dans le monde catholique, celui qui envoie partout des missionnaires pour continuer la grande œuvre de propagation de la sainte foi, celui qui érige de nouveaux sièges, fonde de nouveaux diocèses et organise à tous ses degrés la hiérarchie catholique. Il a le dernier mot dans toutes les controverses doctrinales, il approuve ou désapprouve avec un enseignement souverain toutes sortes d'enseignements et définit comme dogmes et articles de foi les vérités qui ont été niées, mises en doute ou combattues de quelque manière que ce soit."


Cardinal José Martín De Herrera
Année 1903
Pastorales, circulaires et autres documents
Page 14

Don José J. Moreno
1838

« En effet : si le Pape est la seule autorité instituée par Jésus-Christ, s'il est vrai ailleurs que la confirmation des Évêques est un acte d'autorité ou de juridiction, il s'ensuit nécessairement que la confirmation des Évêques ne correspond qu'au Pape en vertu de l'institution de Jésus-Christ.


Peu importe que les Métropolitains et les autres autorités inférieures aux leurs, créées plus tard par l'Église, aient exercé ou agi à maintes reprises la confirmation des Évêques, et par conséquent aient aussi autorisé les érections, unions et divisions des Églises (droits qui vont ensemble et sont inséparables, même si pour l'instant nous nous passerons du dernier), car cela ne contredit ou n'annule en rien le droit de faire toutes ces choses, à naître, disons-le, sous l'autorité du Pape; parce qu'il y a une différence visible entre un droit et son exercice : le droit est inhérent à la charge ou à l'autorité compétente ; son exercice peut émaner de la permission ou de la concession de la personne à qui correspond le droit.


Ainsi, le droit de confirmer les Évêques étant comme un acte de juridiction inhérent à la charge de Primat , ou congénital à l'autorité unique que Jésus-Christ lui-même a créée à l' origine , l'exercice ou l'exécution de ce droit qui s'est ensuite vu chez les Métropolitains et d'autres autorités inférieures à celle du Primat, n'était et ne pouvait être que par permission ou concession de ce dernier.


LE MÊME LIEN TRÈS ÉTROIT EST ENTRE LA CONFIRMATION DES ÉVÊQUES ET LES DEUX AUTRES PRÉROGATIVES DU PAPE D'ÊTRE L'AUTORITÉ SUPRÊME ET UNIVERSELLE DE L'ÉGLISE PAR INSTITUTION DIVINE.


Car à qui d'autre qu'à celui-ci peut convenir le droit d'instituer les évêques, ainsi que celui d'ériger, de diviser, d'unir et d'organiser les évêchés et la métropole.


Essai sur la suprématie du pape,
2eme volume
Écrit par José J. Moreno
Imprimé en 1838
Page 11

De visibili Ecclesice Capite
F.Mazella

« En vertu de la consécration épiscopale, il naît chez les Évêques un certain (demande) besoin ou aptitude à gouverner l'Église ; mais le pouvoir réel nécessaire à ce (gouvernement) n'est pas conféré ; puisque cela, bien qu'il soit (de jure divino ) de droit divin dans le corps épiscopal, n'est pas, comme le pouvoir d'ordre, communiqué aux évêques un par un, mais (par l'intermédiaire du Pontife romain) médiatement par le Pontife romain.


Enfin, il résume le chapitre par ces mots : CE QUE LE PONTIFE ROMAIN COMMUNIQUE AUX ÉVÊQUES N'EST PAS UNE AUTORITÉ DÉRIVÉE DE LUI-MÊME OU QUI A SON ORIGINE DANS LES HOMMES. C'EST LA MÊME AUTORITÉ QUE LE CHRIST A DÉPOSÉE EN LUI LORSQU'IL L'A CONSTITUÉ DANS LEQUEL LA PLENITUDE DE TOUTE JURIDICTION ECCLÉSIASTIQUE DOIT RÉSIDER. PAR CONSÉQUENT, SI VOUS CONSIDÉREZ L'ENTITÉ DE LA JURIDICTION ELLE-MÊME, CE N'EST PAS UNE PUISSANCE HUMAINE, MAIS UNE PUISSANCE DIVINE."


The Pastoral office
Cardinal Manning, Henry Edward
1883
Page 153

A SUIVRE...

[InHocSignoVinces]

« Le pape peut, en vertu de sa primauté, se réserver la connaissance de certains cas et affaires, comme l'a décidé le concile de Trente, et limiter la juridiction des évêques à leur égard ; de manière que tout ce qu'ils font en dehors des limites qui leur sont prescrites, ou par les décrets du Souverain Pontife, ou par les lois et usages de l'Église, cela serait absolument nulle faute de pouvoir, qui ne pourrait être remplacé par aucune autre autorité. Telles seraient les dispenses d'empêchements dirimants réservées à la chaire apostolique.


Telle serait aussi la mission canonique que les nouveaux évêques recevraient des métropolitains ou des conciles particuliers. Ces évêques seraient des INTRUS et des SCHISMATIQUES, ainsi que ceux qui y adhèrent.*


C'est toujours le fruit de l'impiété ou de l'hérésie, et le prélude des schismes les plus funestes.


Convenons donc que, dans l'état actuel des choses, seul le Pontife romain peut confirmer les évêques ; QUE LES CONFIRMATIONS ÉMISES PAR TOUTE AUTRE AUTORITÉ QUI N'ÉTAIT PAS LA SIENNE SERAIENT NULLES ; ET QUE CEUX AINSI CONFIRMÉS NE SERAIENT PAS DES ÉVÊQUES LÉGITIMES, NI N'AURAIENT AUCUNE JURIDICTION DANS L'ÉGLISE."


A qui appartient et doit appartenir à l'avenir la confirmation des évêques ?
M. Francisco Martínez Davila
année 1821

* Ma remarque : Braves et nobles catholiques de la belle France, autrefois appelée à juste titre "la fille aînée de l'Église", c'est avec une grande douleur dans mon âme que je viens vous avertir et vous exhorter à garder le Dépôt Sacré de la Foi PUR et INALTÉRABLE. Demeurez fidèles au Magistère INFAILLIBLE des Saints Vicaires de Notre Seigneur Jésus-Christ, car ils ont parlé avec l'AUTORITÉ du SAINT-ESPRIT qui ne peut se tromper ni nous tromper. En ces temps de désolation épouvantable, de ténèbres et de confusion spirituelle, suivez SAINT PIERRE et ses saints successeurs jusqu'à S.S. Pie XII, renseignez-vous bien, lisez les Encycliques pontificales, méditez-les sereinement, car Ubi Petrus Ibi Ecclesia, les Vicaires du Christ sont nos Pères et veillent sur le troupeau de fidèles qui leur est confié, et c'est à eux et à eux seuls que nous devons soumission et respect; et surtout, gardez et pratiquez votre sainte foi catholique dans vos foyers, soyez de pieux catholiques et nourrissez votre Foi de toutes les dévotions que vous jugerez appropriées, la récitation du Saint Rosaire, la dévotion à Saint Joseph, à un saint ou sainte en particulier, pratiquez la lecture spirituelle et méditez-la bien, faites des œuvres de miséricorde envers votre prochain, comme l'aumône, dont le pouvoir d'EFFACER LES PÉCHÉS est vraiment merveilleux et miraculeux, et le jeûne, afin de satisfaire la justice divine pour nos propres transgressions et fautes, unissant tout aux mérites infinis que Notre Sauveur et Rédempteur Jésus-Christ nous a obtenus par sa Douloureuse Passion et Mort. Car sans Lui nous ne pouvons RIEN, pas même prononcer le saint nom de JÉSUS avec aucun mérite pour la vie éternelle, si nous avons l'ÉNORME malheur d'être en état de péché, c'est-à-dire d'inimitié avec Dieu. Il est donc URGENT et IMPÉRATIF de retrouver l'état de GRÂCE DIVINE par le repentir, la pénitence et la prière SINCERE et PROFONDE. Dieu qui voit en secret sait toujours écouter le langage du cœur, et Il ne méprise JAMAIS le cri d'un cœur contrit et humilié, JAMAIS. Je vous le répète avec toute mon affection pour vous : suivez la Tête, suivez Pierre, écoutez Pierre, connaissez et mettez en pratique ses enseignements et ne les méprisez pas ou n'essayez pas de les altérer. L'église a été bâtie sur Pierre, pas sur de faux bergers qui ne sont que des loups déguisés en brebis. Suivez et écoutez la voix de Pierre, car le Christ parle à travers lui.


Je vous le souhaite de tout mon cœur et je prierai pour chacun et chacune de vous, de sorte que PAS UN SEUL du Petit Troupeau de fidèles auquel notre sainte Église Catholique, Apostolique et Romaine a été réduite en ces derniers temps de ténèbres et de confusion vraiment diaboliques soit perdu.


Votre pauvre et indigne frère dans la Foi qui vous aime beaucoup.


A SUIVRE...

[Frère Arnaud]

Que pensez-vous de cette expression marquant l'adhésion à la vraie foi catholique: Una cum Petro?
Merci,
fr Arnaud