Quand j’en ai lu un, entre autre, de l’Abbé Zins, celui posté vers midi , la réponse à la question, à cause d’un mot qui m’a frappé : maximal m’est apparue telle une lumière divine.
Ce matin, même hier soir, je me suis dit : si j’avais su !… j’avais l’impression de tricher : mais voilà les heures des posts me revenaient :
« L’Abbé Zins avait posté son enseignement à 12:11; il
avait posté sa question à 22:01, soit à la fin de la journée.»
Alors je me suis dit que j’aurais pu répondre à chaud et sans plus tarder je m’exécute :
Abbé Zins a écrit :
Quel est, à votre avis,
l'acte maximal de la Divine Charité envers nous ?
Il serait intéressant que chacun des participants à la session
donne son avis sur cette question,
en cherchant à l'étayer par quelque raisonnement ou réflexion.
Comme dirait Gabrielle, Louis Mc Duff prise 2 :
Abbé Zins a écrit :
Or, ce par quoi tous sont unis à Dieu, à savoir sa bonté de laquelle tous sont l'image (imitantur), est maximal et le plus intime...»
(Saint Thomas Contra Gentes1,91)
Je dirais que l’acte maximal de la Divine Charité envers nous c’est Sa Bonté.
La Bonté est la caractéristique essentielle, si je puis dire, de Dieu : il fait tout par bonté, parce qu’Il est bon, parce qu’Il est la Bonté même.
Quand il a créé le monde, Il dit :
« Et Dieu vit que la lumière était bonne… » (Gen 1, 4)
« Or Dieu nomma la partie aride Terre, et les amas d’eaux, il les appela Mers. Et Dieu vit que cela était bon… » (Gen 1, 10)
«… Et Dieu vit que cela était bon. » (Gen 1, 12)
«… Et Dieu vit que cela était bon. » (Gen 1, 18)
«… Et Dieu vit que cela était bon. » (Gen 1,21)
«… Et Dieu vit que cela était bon. » (Gen 1,25)
« Et Dieu vit toutes les choses qu’il avait faites, et elles étaient très bonnes…» (Gen 1,31)
Quand on parle de Dieu on emploie souvent l’expression LE BON DIEU : ça résume tout.
Je profite de cette tribune et de cette mi Carême pour remercier l’Abbé Zins d’avoir mis en œuvre cette session sur la Vraie nature de la Charité et aussi tous les intervenants soit pour leurs publications, soit pour leurs prières.